Achetez « La Jamélienne » !

« La Jamélienne » est parue depuis le 19 avril ! Achetez-la ici:

http://7ecrit.com/livre/la-jamelienne

Venez découvrir cette grande aventure !

Bonne surprise à la Fabrique à rêves de Fourmies pour ma 50e rencontre avec le public

Angélique a été la première à se lancer


La journée de dédicaces du 13 mai s’est poursuivie à la librairie La Fabrique à rêves de Fourmies, qui m’accueillait là aussi pour la troisième fois. C’était d’ailleurs ma 50e rencontre avec le public, et cette séance fut une agréable surprise ! Après un démarrage difficile, les ventes se sont enchaînées de manière inattendue dès 15h30 pour finalement se hisser au score satisfaisant de huit exemplaires vendus ! Une même personne m’a même acheté trois livres d’un coup. Ce sont essentiellement des Moogas qui ont été vendus lors de ce sympathique après-midi qui m’a permis une nouvelle fois de faire de belles rencontres. Voici les photos.


Troisième passage à la Maison de la presse de Vervins

Ce samedi 13 mai au matin, j’étais pour la troisième fois à la Maison de la presse de Vervins, pour une nouvelle rencontre avec le public. Les ventes sont restées modestes. Je remercie la gérante pour son accueil. Voici une photo !

Le plein de monstres au salon fantastique de Paris !

Une grosse bête bien sympathique !


C’est un fantastique week-end qui vient de se dérouler ! Samedi, dimanche et ce lundi, du 6 au 8 mai, avait lieu une nouvelle édition du salon fantastique de Paris.
Le salon fantastique, c’est d’abord de formidables costumes imaginés par les exposants et les visiteurs. On a vu pêle-mêle un loup-garou géant, des vampires… Il y avait pas mal de monstres, puisque c’était le thème du salon ! On peut aussi citer des représentations des personnages du manga « Jojo’s bizarre adventure », ou encore les costumes de Lady Opaline. Tous ces personnages atypiques ont déambulé à travers les stands et posé pour des photos. Il y avait d’ailleurs un concours de costumes !
Le salon fantastique, c’est aussi des jeux : jeux de rôle, jeux de société…
Le salon fantastique, c’est également de la musique : on a entendu des orchestres, et les chanteurs des Geek singers avec des concerts.
Des danseuses ont régulièrement animé le forum, et des démonstrations de cannes de combat et d’escrime étaient proposées à l’extérieur.
Bref, le salon fantastique de Paris, c’est une ambiance magique assurée qui vous transporte dans le monde de l’imaginaire !
Les exposants étaient très divers. Il y avait des artisans, des illustrateurs… Et, bien sûr, des écrivains de fantastique. Et parmi ces écrivains de fantastique, il y avait donc Kévin Monfils, qui présentait ses deux livres, « La malédiction du Mooga » et « La Jamélienne »…
En ce qui me concerne, les ventes ont démarré plutôt timidement le vendredi, avant de se concentrer surtout sur le dimanche et le lundi. Contrairement à ce que je croyais, mes lecteurs ont essentiellement acheté le Mooga, préférant d’abord découvrir le tome 1 avant d’éventuellement se lancer dans la suite. Seules deux Jaméliennes sont parties, mais le nombre final de livres vendus s’élève tout de même à 13 ! Soit mon deuxième meilleur score depuis la publication de mes livres. Je n’ai pas encore réussi à égaler ou dépasser mon record de 14 ventes : il avait justement eu lieu au salon fantastique de Paris en 2016. Parmi mes clients de ce week-end, je compte une lectrice qui a acheté le Mooga dimanche et l’a lu dans la soirée. Elle m’a donc assuré une belle publicité au salon le lundi ! Merci Lauren !
Bravo à toute l’équipe des organisateurs pour ce bel événement ! Une nouvelle édition du salon est prévue pour novembre. En attendant, voici le reportage-photo de ce week-end. J’ai pris tellement de clichés que je ne peux pas tous les mettre ici ! Profitez d’une autre galerie photo sur ma page Facebook, « Kévin Monfils » !


Première sortie pour « La Jamélienne » !

Avec Philippe, un de mes clients du jour


Ce samedi 29 avril au matin, à la Maison de la presse de Villers-Cotterêts, je présentais pour la première fois « La Jamélienne » au public. Deux personnes m’ont acheté des livres, à savoir deux Moogas et une Jamélienne. Trois livres, c’est un score modeste, mais c’est toujours mieux qu’un seul livre, n’est-ce pas ! Si des Cotteréziens me lisent, sachez qu’il reste un Mooga et une Jamélienne en rayon ! Photos de la matinée ci-joint.


« La Jamélienne » enfin entre les mains !

Une nouvelle aventure commence !


J’ai reçu ce lundi 24 avril mes premiers exemplaires de « La Jamélienne ». Même si je connaissais bien évidemment la couverture, la quatrième de couverture et le contenu du livre, quel plaisir d’avoir ce nouvel ouvrage entre les mains 😀 ! Comme il y a deux ans, lors de la parution de « La malédiction du Mooga », j’ai l’impression que mes personnages (re)prennent vie, et que ce récit prend maintenant une toute nouvelle dimension. Il n’est plus cantonné à une poignée de lecteurs (familles, amis…) mais s’ouvre à des centaines, voire des milliers de personnes !
Mais laissez-moi vous présenter mon nouveau bébé.
Parlons des différences avec « La malédiction du Mooga ». Ce nouvel ouvrage est bien plus long que le premier tome: 275 pages, contre 163 pour « La malédiction du Mooga ». « La Jamélienne » compte 21 chapitres (contre 19 pour le Mooga), et s’enrichit d’une table des matières, d’un prologue résumant le premier tome, ainsi que d’un épilogue. Ce nouveau livre est axé sur l’aventure et le fantastique. C’était aussi le cas de mon premier livre, mais celui-ci s’orientait aussi sur le suspense, et avait un côté horrifique. D’après les premiers retours, la nouvelle couverture est moins effrayante que celle du premier tome, mais intrigante ! Et il y a une nouvelle photo à côté de ma biographie. « La Jamélienne » coûte 18,90 euros (contre 16,90 pour le Mooga). La version numérique (ebook) coûte 7,99 euros contre 7,90 pour le tome 1.
Les ressemblances: la couverture rappelle celle du premier tome, avec un fond noir et un titre en lettres rouges. Le graphiste est le même. La police et la mise en page utilisées sont les mêmes que pour le premier tome.
Je vendrai mes premières Jaméliennes à ma prochaine séance de dédicaces, à la Maison de la presse de Villers-Cotterêts (02), samedi prochain de 9h30 à 12h.
En attendant, voici un extrait de « La Jamélienne », c’est cadeau chers futurs lecteurs ! Enjoy :
« Un rayon laser jaune surgit dans notre direction et s’écrasa contre un arbre à côté de nous. Nous sursautâmes : l’arbre avait pris feu. Ses flammes dégageaient une chaleur que nous sentions très bien, à quelques mètres de nous. »


J’étais au lancement de la Foire aux livres de Préseau

Matthias se lance dans l’aventure


Retour sur ma participation à la Foire aux livres de Préseau, dont c’était la première édition ce samedi 22 avril.
Malheureusement, je semble être abonné aux ventes à l’unité en ce moment puisque je n’ai encore une fois vendu qu’un seul livre. Merci Matthias 😉 Il y avait du passage mais le salon, qui proposait aussi un troc plantes, mérite d’attirer plus de monde.
Vendre un seul livre en une journée ne devrait plus m’arriver puisque lors de ma prochaine rencontre avec le public, samedi prochain à la Maison de la presse de Villers-Cotterêts, je devrais pouvoir présenter pour la première fois « La Jamélienne » !
En attendant, chers abonnés, voici les photos du jour !


Star ou pas ?

Depuis la parution de mon premier livre, il y a presque deux ans, j’enchaîne les séances de dédicaces et les salons du livre. J’en ai à ce jour effectué 45. Il est rare qu’un de mes week-ends n’y soit pas consacré. Toutes ces rencontres avec le public nécessitent d’être annoncées puis couvertes dans les journaux, afin de faire connaître mon livre. Je suis aussi passé sur plusieurs radios et sites internet. Souvent, voyant ce planning effréné et ma présence dans les médias, on me dit : « tu deviens une star ! » Une phrase qui me laisse en fait dubitatif. Je m’explique.
Certes, mon nom et ma photo apparaissent régulièrement dans les journaux, je dispose d’un site internet et il suffit d’un clic sur google pour trouver une multitude de clichés et d’articles me concernant. Pour autant, je ne considère pas du tout cela comme une forme de célébrité. Si j’enchaîne les rencontres avec le public, c’est uniquement parce que j’aime ça et que je veux partager ma passion. La presse est prévenue pour faire connaître mon livre, mais certainement pas pour courir après une quelconque forme de gloire. C’est mon livre qui doit être connu, pas moi. Ce qui se dit de moi dans la presse ne doit pas dépasser le cadre de mon activité littéraire : cela ne correspondrait pas du tout à ma personnalité et à mes envies. Je ne tiens absolument pas à me retrouver dans les pages des magazines people… De plus, je suis essentiellement connu dans ma région parce que c’est surtout dans les Hauts-de-France que je fais des dédicaces, pas dans la France entière ! Et je n’en suis pas à des millions d’exemplaires vendus comme les best-sellers…
D’ailleurs, qu’est-ce qu’une star ? On a trop tendance à employer ce mot à tout va, faisant du terme « star » une notion à la fois vague, superficielle et galvaudée. Ma définition d’une star serait : c’est une personne qui est plus connue et appréciée que les autres grâce à son talent. Etre une star ne doit pas être un objectif mais un simple plus quand on exerce sa passion. Pour moi, on ne devient une star que si on le mérite.
Aujourd’hui, dans notre société et notamment dans certaines émissions de télévision, on a trop souvent tendance à voir l’inverse : des gens qui deviennent des stars sans exercer de talent, parce que leur objectif était d’abord d’être connus. Alors, très vite, la baudruche se dégonfle et la soi-disant star retombe dans l’anonymat…
Conclusion : non, je ne suis pas une star et je suis toujours la même personne qu’avant la parution de mon livre. Et ça me va parfaitement 🙂