« Comment trouves-tu toutes ces séances de dédicaces ? »

Régulièrement, quand mon entourage voit les nombreux compte-rendus de rencontres avec le public que je publie sur ma page Facebook et sur mon site, il me demande : « comment trouves-tu toutes ces séances de dédicaces ? » La réponse est triple.
Pour obtenir une séance de dédicaces, il faut tout simplement demander ! Mon attachée de presse chez 7 Ecrit éditions, Isabelle Delaporte, prend contact avec les libraires et leur propose de me recevoir. Très régulièrement, elle me propose des dédicaces dans la région où je vis, ou dans ses environs. Ma maison d’édition m’inscrit également aux salons littéraires. Je fais généralement des salons ou séances de dédicaces dans un rayon de deux ou trois heures de route autour de chez moi.
De mon côté, j’appelle aussi les enseignes susceptibles de m’accepter. Il s’agira de librairies donc, mais aussi de Maisons de la presse, de magasins Leclerc, Cora ou Cultura. Les enseignes sont libres d’accepter ou de refuser. Mais lors d’une séance de dédicaces, tout le monde est gagnant : l’écrivain bien sûr, qui peut présenter son livre et rencontrer du monde, mais aussi l’enseigne puisque cela lui fait une animation et des bénéfices. Je peux aussi m’inscrire aux salons de mon côté.
Les libraires peuvent me proposer de revenir dans leurs locaux pour une autre séance de dédicaces, surtout si le bilan est bon. Ainsi, j’ai déjà effectué trois séances de dédicaces au même endroit ! Tout est donc affaire de réseau. Plus je fais des séances de dédicaces et des salons, plus je noue des contacts, et plus on me fait des propositions. L’agenda se remplit donc très vite, et, ne pouvant pas être partout à la fois, je dois refuser un certain nombre de projets… Actuellement, j’ai des événements prévus jusqu’en décembre !
En conclusion, l’écrivain pourra faire de nombreux salons ou séances de dédicaces… S’il le veut bien !

De l’intérêt des photos

Aujourd’hui, je vais parler de l’intérêt des photos. Je ne vais jamais en séance de dédicaces ou en salon sans mon appareil photo. Pourquoi ?
Vous l’avez remarqué : lorsque je fais des compte-rendus de dédicaces ou de salons, je mets toujours plusieurs photos. Dans le cas des salons, je peux publier jusqu’à une vingtaine de clichés ! Ces photos sont d’une part destinées à mon site internet et à ma page Facebook : je peux ainsi garder une trace de ces rencontres avec le public.
D’autre part, j’envoie des photos à ma maison d’édition. 7 Ecrit peut ainsi enrichir ses communiqués de presse à mon sujet.
Qui est pris en photo ? Je considère que me mettre en photo tout seul n’a pas beaucoup d’intérêt. Je veux montrer que j’ai rencontré du monde et que des gens se sont intéressés à moi et à mes livres. Alors, je demande à chaque personne qui m’achète un livre si elle veut bien être prise en photo avec moi, en lui précisant quelle utilisation je ferai du cliché. La grande majorité des gens acceptent avec plaisir. Dans le cas des salons, je fais aussi des photos du public ou des animations.
Je propose plusieurs types de photos à mes lecteurs : celles où on prend la pose, avec le livre et/ou devant les affiches. Je propose aussi à mon lecteur d’être pris en photo « sur le vif », c’est-à-dire sans poser. A ce moment-là, nous sommes photographiés quand nous discutons ou quand je signe le livre.
Lors de ces rencontres, j’indique que la photo sera mise en ligne sur ma page Facebook et sur mon site, dans la soirée suivant la rencontre. Mettre les photos en ligne permet aux posts de gagner en intérêt. Sur Facebook, ceux qui contiennent des photos sont beaucoup plus lus que les posts qui n’en ont pas. Le compte-rendu illustré est plus vivant, l’intérêt de l’internaute est émoustillé.
De plus, les gens que je prends en photo aiment se voir ensuite sur ma page Facebook. Très vite après avoir acheté le livre, je remarque que les personnes que j’ai rencontrées s’abonnent à ma page et likent la photo qui les concerne. Alors, elles commentent ou partagent le post ou la photo. Ce qui est visible dans l’actualité du nouvel abonné, alors tout va très vite : ses amis voient le post et viennent à leur tour sur ma page. Une personne peut m’amener des dizaines de nouveaux lecteurs potentiels !
Qui prend les photos ? Un peu tout le monde : la personne qui m’accompagne, un voisin de stand, les libraires, les passants…
Je ne retouche pas les photos. Le seul travail que je fais dessus est le recadrage. Comme je le précise à mes clients, le but n’est pas de faire de grandes photos artistiques, mais simplement d’avoir un beau souvenir de notre rencontre !

De l’art de dédicacer un livre

La dédicace doit être un beau souvenir pour le lecteur


Comment dédicacer un livre ?
Il n’y a pas de mode d’emploi particulier, chaque écrivain fait comme il sent. En ce qui me concerne, j’ai cependant pris quelques habitudes.
Pour moi, une dédicace doit être précise. Je ne me contente pas d’une signature, sinon ce serait un autographe. Je précise toujours le lieu et la date de la rencontre avec le lecteur. J’écris systématiquement son prénom.
Dans la mesure du possible, je personnalise la dédicace, c’est-à-dire en faisant allusion à un moment particulier que j’aurais vécu avec le lecteur, à quelque chose que nous avons en commun, à un trait de sa personnalité… Bien sûr, ce n’est pas toujours facile puisque la majorité des livres que je dédicace sont destinés à des personnes que je ne connais pas !
Qu’est-ce que j’écris ? Mes dédicaces prennent souvent la forme de boutades et délivrent un message positif. J’intègre le titre du livre dans le mot que je laisse au client. Je fais allusion à l’histoire du livre, à son style, à ce que le lecteur pourrait ressentir en le lisant…
Depuis le début de mon aventure littéraire, il y a deux ans, j’ai rencontré des centaines de personnes au cours de mes salons et séances de dédicaces. Alors, dire que je parviens à faire une dédicace différente à chaque rencontre serait mentir ! J’essaie cependant de varier le plus possible. L’essentiel, c’est que le lecteur garde un bon souvenir écrit de notre rencontre.


Comment savoir si une personne est intéressée par mes livres ?

Un écrivain souriant, c’est toujours plus engageant !


En séance de dédicaces ou en salon, comment savoir si une personne est intéressée par mes livres ? Tout est affaire d’observation et de comportement.
L’attitude de l’écrivain, d’abord, est très importante : il doit se montrer disponible pour le public. Il faut être souriant, ne pas avoir l’air d’être ailleurs ou soucieux. L’écrivain ne doit pas être fourré dans son téléphone ou plongé dans sa lecture. Il doit relever la tête, observer ce qui se passe et être ouvert aux passants. La timidité au placard ! Les lecteurs, il faut aller les chercher ! En ce qui me concerne, je salue régulièrement les personnes qui passent devant mon stand par un tonique « Bonjour ! ». Une fois le bonjour rendu, j’enchaîne avec une phrase d’accroche : souvent, c’est « je vous présente mes livres ? » ou « qu’est-ce que vous aimez lire » ?
Du côté du public, une personne qui marche vite en regardant droit devant elle ne sera généralement pas intéressée par mon stand : je comprends à son attitude qu’elle est venue chercher quelque chose de précis et n’a pas de temps à me consacrer. Un individu qui marche à allure modérée, en prenant le temps de regarder autour de lui, paraît plus disponible et peut être abordé. Enfin, il y a le cas de clients qui regardent mon stand, mais sans oser s’approcher, s’arrêter ou poser des questions : alors, je les interpelle ou leur fais signe de venir.
Une fois le contact établi, si la personne dit « non merci » je n’insiste pas. Je n’ai pas à être vexé si une personne n’est pas intéressée. D’autres jouent le jeu en prenant le temps d’écouter la présentation de mes livres, mais poursuivent tout de même leur chemin. En revanche, si, après avoir écouté la description de mes ouvrages, une personne saisit un livre et commence à le feuilleter, c’est bon signe. Si elle me demande le prix du livre, c’est qu’elle est intéressée, elle finit alors par l’acheter.
Quand je présente mes ouvrages, je mets en avant tous leurs aspects positifs, en me basant sur les retours des lecteurs. Je reste toujours honnête : je n’invente rien et je n’exagère rien. Par exemple, je ne vais pas raconter que j’écris du policier alors que ce n’est pas le cas. Mon but, c’est d’éveiller l’intérêt des clients, mais je ne force jamais personne à acheter. C’est le client qui décide. Etre en dédicaces demande toujours humilité et modestie !


Le Mooga et la Jamélienne à la conquête du monde !

Les expatriés français en Asie seront concernés


Ma pause du mois d’août concernant les séances de dédicaces et les salons ne m’empêche pas de continuer à alimenter le site. Ainsi, chaque mardi du mois, vous pourrez retrouver une chronique en rapport avec mon activité littéraire.
Et on commence cette série avec une grande nouvelle ! Je vais profiter, pendant un an, d’une opération mise en place par 7 Ecrit éditions, et qui me permettra d’élargir mon lectorat. En effet, un nouveau partenariat établi entre Amazon et 7 Ecrit, Amazon international, vise les clients français expatriés dans le monde. Grâce à ce partenariat, les livres pourront être achetés plus facilement depuis l’étranger: les frais de port seront gratuits, et les livres envoyés en 24 heures. Mes livres pourront ainsi être mieux distribués en Amérique du Nord, dans toute la zone euro, en Angleterre et en Asie. Ce qui me permettra d’augmenter mes ventes de manière exponentielle en faisant connaître mes livres à travers le monde !


À Hirson, je troque ma casquette de journaliste contre celle d’écrivain

Une de mes rencontres du jour


Les rencontres avec le public du mois de juillet se sont achevées ce samedi 29 juillet avec un retour à la Maison de la presse d’Hirson pour une séance de dédicaces. Le bilan est correct avec cinq livres vendus, dont une Jamélienne et quatre Moogas. Cette journée était l’occasion de faire découvrir ma casquette d’écrivain à des personnes que je rencontre habituellement, dans cette ville où je travaille, dans le cadre de mon travail de journaliste.
Sur ce, c’est l’heure des vacances, bien méritées ! Je ne ferai pas de salons ni de séances de dédicaces en août, mais cette page restera active le mois prochain.
Rendez-vous à la rentrée pour de nouvelles aventures fantastiques ! Soyez heureux !


Le Dormantastique, un festival qui grandit bien !

Hugo va découvrir le Mooga !


Que du bonheur !
La troisième édition du Dormantastique, ce week-end, a tenu toutes ses promesses. Le public a une nouvelle fois rencontré les exposants dans le cadre enchanteur du château de Dormans. Ce festival littéraire et de l’imaginaire est organisé par Virginie Goevelinger (au micro) et son association, la Confrérie de la carotte. Et le Dormantastique grandit, et il grandit bien !
En arrivant au château, les visiteurs pouvaient rencontrer les écrivains dans plusieurs salles, au rez-de-chaussée et à l’étage. D’autres, dont moi, étaient installées sous une grande tente dans la cour du château.
En poursuivant leur visite, les visiteurs pouvaient voir une autre partie du festival: de nombreux stands d’artisans étaient installés dans la cour, les barnums débordaient même autour du château. On y proposait des bijoux, des costumes, mais aussi des épées… Après tout, c’est un festival médiéval !
La cour était aussi le lieu de spectacles: celui des mousquetaires, et celui de la conteuse Emilie, alias Lounda Zepa, fidèle au poste ! Le samedi soir, deux groupes de musique ont envahi la scène placée dans la cour: The black clover, puis Pagan-Noz. Le deuxième groupe, venu de Belgique, a mis l’ambiance ! Les exposants ont dansé dans la cour en formant une ronde. Des artistes maniant le feu ont aussi fait le spectacle peu après. Puis, nullement découragés par la pluie, musiciens et exposants se sont retrouvés sous la tente pour y poursuivre la fête en musique.
La musique, c’était aussi le duo Volivent, qui s’est produit dans les allées des exposants tout au long du week-end.
Pendant les deux jours, le Dormantastique a une nouvelle fois mis en scène des rapaces: l’association les Aigles de Château-Thierry était de la partie, pour présenter des oiseaux qui ont bien éveillé la curiosité du public.
De la musique ? Elle était continuelle, entre autres avec une chanteuse qui se produisait dans les rangs des exposants. Des costumes ? Les exposants ont volontiers joué le jeu.
Quant à moi, mes ventes ont été très bonnes avec 11 livres vendus ! J’ai eu la surprise et le plaisir de revoir des lecteurs qui, après m’avoir rencontré l’année dernière, sont (re)venus ou revenus au Dormantastique pour acheter la Jamélienne ! Et les retours sur le Mooga sont toujours aussi positifs !
A noter que j’ai été interviewé par Laurence Turquin, du webzine vuduchateau.com !
Bref, après ce superbe week-end, tout va toujours aussi bien dans mon monde fantastique !
Comme souvent lors de ce grand événement, j’ai fait une multitude de photos. En voici quelques unes. Mais vous pouvez profiter d’une autre galerie, ainsi que d’autres détails sur le week-end, sur ma page Facebook, « Kévin Monfils ». Courez-y !


Retour gagnant à la librairie Carnot de Sedan

Dans la bonne humeur avec Denis !


Encore huit ! Ce samedi 15 juillet, j’étais de retour à la librairie Carnot de Sedan, après un premier passage en décembre. C’est la troisième fois de suite que je vends huit livres (c’était aussi le bilan lors de mon dernier passage dans cette librairie d’ailleurs). Cinq Moogas ont été vendus, contre trois exemplaires pour la Jamélienne. En somme, ce fut une agréable journée de dédicaces, avec une équipe toujours aussi sympathique. Voici des photos prises sur le vif. Et avis aux Sedanais et Ardennais: il reste quatre livres en rayon !


Une file d’attente à mon stand à Thiron-Gardais !

En plein échange avec Mélissa, une de mes nouvelles lectrices


Le Mooga et la Jamélienne ont passé leur 14 juillet en Eure-et-Loir !
En effet, j’étais ce samedi à Thiron-Gardais, dans les jardins de l’auberge de l’abbaye, pour le salon du livre organisé dans ce village situé dans les environs de Nogent-le-Rotrou.
Une nouvelle fois, cette rencontre avec le public a été pleine de surprises en ce qui concerne le rythme des ventes. Après une vente à 11h30, calme plat jusqu’à 16h40 où j’ai enchaîné les ventes pendant une demi-heure ! A mon stand, des personnes devaient ainsi attendre leur tour pour obtenir leur livre dédicacé. Dans les salons, je tiens à rester jusqu’au dernier moment: on ne sait jamais ! Et j’ai bien fait puisque le dernier exemplaire de la journée est parti à 18 heures, au moment de la fermeture. En somme, j’ai vendu huit livres sur l’ensemble de la journée (sept Moogas et une Jamélienne).
Cette journée était rythmée par la musique d’un groupe de percussions local, qui officiait sur la brocante voisine et est venu mettre l’ambiance au salon du livre organisé par la médiathèque de Thiron-Gardais.
Le Mooga et la Jamélienne sont loin d’avoir fini leur tournée. Rendez-vous ce samedi à la librairie Carnot de Sedan (Ardennes), de 9 heures 12 heures !


Belles retrouvailles au Leclerc de Saint-Amand-les-Eaux

Maxime avait hâte de revenir pour découvrir « La Jamélienne » !


La séance de dédicaces de ce samedi 8 juillet, à l’espace culturel du Leclerc de Saint-Amand-les-Eaux, était placée sous le signe des retrouvailles. En effet, j’ai été très heureux de revoir des lecteurs que j’avais rencontrés lors de ma première séance de dédicaces à cet endroit, en février 2016. Ils m’avaient acheté le tome 1 à l’époque, et, l’ayant beaucoup apprécié, sont revenus pour se procurer « La Jamélienne » ! J’ai bien fait de revenir à Saint-Amand-les-Eaux !
Pour la première fois, il y a égalité parfaite dans mes ventes: j’ai vendu quatre Moogas et quatre Jaméliennes, ce qui donne un bilan satisfaisant de huit livres vendus.
Last but not least: il reste six livres en rayon ! Venez vous procurer le Mooga et la Jamélienne à l’espace culturel du Leclerc de Saint-Amand-les-Eaux !
Chers lecteurs, à très vite pour de nouvelle aventures littéraires… et fantastiques bien sûr !