Cinq livres vendus à Fagnières

Mes rencontres du jour !


Ce samedi, j’étais en dédicaces à l’espace culturel du Leclerc de Fagnières, près de Châlons-en-Champagne. Les ventes ont été sporadiques avec cinq livres partis (trois Moogas, deux Jaméliennes) en quatre heures de temps.
En somme, une séance un peu décevante dans l’ensemble, mais lors de laquelle j’ai bel et bien atteint le seuil de ventes que j’estime correct. Photos !


Interviewé par la radio RCF !

Ce mardi 25 avril, j’étais interviewé par Magalie Moulanier, de l’antenne châlonnaise de la radio RCF, pour le magazine « La joie des livres ». Elle m’a posé plusieurs questions sur la genèse de mes livres et leur publication. On pourra écouter l’émission vendredi à 19h45 et samedi à 9h45 !

« Je suis journaliste la semaine, écrivain le week-end »

Chronique de la semaine !
« Je suis journaliste la semaine, écrivain le week-end. » Voilà une phrase que j’ai pris l’habitude de prononcer quand je me présente. En effet, si mon métier reste celui de journaliste, je consacre la plupart de mes week-ends aux séances de dédicaces et aux salons. Ces deux activités sont très différentes, mais ont aussi des points communs. Voici le jeu des comparaisons. Commençons par les points communs.
Premier point commun, le plus évident: l’écriture. Ces deux activités demandent d’aimer la langue française, rédiger et savoir jouer avec les mots.
Deuxième point commun: j’écris sur tout. En tant que journaliste, je réalise en effet des articles sur des associations, des commerces, du sport, je travaille sur des faits divers, j’écris des compte-rendus d’audience correctionnelle… Le journalisme est un métier qui permet d’explorer toutes les facettes de la société -les pires comme les meilleures- et de découvrir les coulisses d’endroits fermés au public. Les récits fantastiques que j’écris me permettent eux aussi d’écrire sur tout : dans mes fictions, je peux tout imaginer. Je crée mon propre univers. Les seules règles existantes sont celles que je m’impose.
Troisième point commun: j’écris pour des milliers de personnes. Mes articles et mes livres sont lus dans la région où je vis, et même au-delà.
Les différences, maintenant.
Le journalisme est ancré dans la réalité, tandis que mes livres conçoivent un univers: le journalisme informe, les livres imaginent.
Ensuite, le rapport au lecteur. On n’aime ou pas le fantastique, mais un lecteur ne m’en voudra pas d’imaginer ce qui me chante dans mes livres. Je n’ai pas à me justifier sur ce que j’imagine. Le journalisme demande, en revanche, beaucoup de rigueur intellectuelle. On ne peut pas se permettre toutes sortes de fantaisies. Mes articles peuvent ne pas plaire et être contestés. Alors, je dois pouvoir rendre des comptes aux lecteurs de mon journal, expliquer mes choix…
La durée de vie de mes écrits est aussi une différence notable : mes articles sont publiés dans un journal qui paraît tous les jours. Ils ont une durée de vie limitée dans le temps, car les faits dont je parle dans le journal peuvent très vite évoluer. Contrairement au journal, le livre, lui, n’a pas de durée de vie limitée. Ce que j’écris aura toujours la même valeur et le même intérêt des années après, puisqu’il s’agit de fictions.
Bref, ces deux activités sont à la fois proches et différentes. Régulièrement, des personnes que je rencontre en tant que journaliste découvrent, avec surprise, mon activité d’écrivain. Je tiens à ne pas mélanger ces deux activités, mais il est souvent inévitable que les deux se rencontrent !
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À Châlons, je troque ma casquette de journaliste contre celle d’écrivain

Marion, merci pour ta présence 🙂


La séance de dédicaces de ce samedi 14 avril, à la librairie du Mau de Châlons, fut magnifique avec 10 livres vendus ! Huit Moogas et deux Jaméliennes ont trouvé leurs nouveaux propriétaires. La séance avait ceci de particulier qu’elle se déroulait dans la ville où je travaille comme journaliste. J’ai donc pu présenter mes livres à des personnes que je vois habituellement dans mes reportages, dont plusieurs élus ! Ces personnes ont eu vent de l’événement par Facebook, par ouï-dire ou me rencontraient par hasard. Ces nouveaux clients vont pouvoir constater que mon écriture est loin de se limiter à des articles sur l’actualité de Châlons ! Bref, les ventes ont été très régulières, les rencontres agréables, l’ambiance sympa, et je remercie l’équipe de la librairie du Mau pour ce bel après-midi ! Voici la galerie photo ! Tout va bien, la vie est belle, soyez heureux !


Journée difficile à Toucy

Alise a commencé à lire le Mooga sur place


Et dimanche 8 avril, je me rendais pour la première fois dans l’Yonne, au salon du livre de Toucy. On y trouvait des bouquinistes et des livres sur la région. On peut dire que je me distinguais puisque j’étais le seul auteur de fantastique !
Malheureusement, la fréquentation fut faible sur l’ensemble de la journée, celle-ci fut donc difficile pour les exposants. Je n’ai vendu qu’une petite poignée de livres. Mais je repars avec de nouveaux contacts et idées de salons. Voici les photos !


Retour à Bapaume !

Les retrouvailles avec Kylian !


Vendredi et samedi, je suis retourné au salon du livre de Bapaume, à l’espace Isabelle de Hainaut. J’étais placé dans le rayon jeunesse.
La première journée était consacrée en grande partie à la visite des collégiens du secteur, venus avec des questionnaires à soumettre aux écrivains. Mais cela ne m’a pas empêché de vendre deux Moogas pendant ce laps de temps. Deux autres exemplaires du premier tome ont été vendus, le soir et le lendemain matin. Le samedi était consacré à la visite du public: j’ai pu vendre deux Jaméliennes lors du deuxième jour, à des lecteurs qui avaient acheté le Mooga l’an dernier. Je m’en sors donc avec six livres vendus.
Le salon était, comme l’an passé, organisé par la mairie. Là encore, un prix a été remis: le prix du salon du livre de Bapaume a été décerné à Marie-Christine Collard pour son oeuvre: « Répliques ». Lors de ce salon parrainé par Mac Le Piouff, des conférences d’histoire étaient organisées, sur le traité de Versailles et les batailles de Bullecourt en 1917.
Bref, c’était un salon du livre, mais pas seulement. Tout le monde pouvait y trouver son compte. Voici les photos.


Quel autre style de livre pourrais-je écrire ?

Chronique de la semaine !
Comme vous le savez, mon genre de prédilection est le fantastique : c’est un genre sans limites, l’écrivain y est totalement libre, il peut laisser libre cours à son imagination et se fixe ses propres règles. Aujourd’hui, je vais répondre à une question qui se pose lors de mes séances de dédicaces: quel autre style de livre pourrais-je écrire ?
La majorité de mes oeuvres relèvent du fantastique. J’ai cependant écrit quelques histoires qui n’en contenaient pas, c’était seulement des aventures sans irruption de phénomènes paranormaux. J’ai aussi écrit des histoires comiques. Si j’avais une bonne idée de scénario, ainsi qu’une bonne opportunité de publication, je pourrais réitérer l’expérience. Le suspense et le thriller pourraient également me tenter.
Je sais en revanche ce que je ne pourrais pas écrire. Il y a peu de chances que j’écrive un jour un policier: c’est un genre trop carré et terre à terre pour moi. Je ne me vois pas mettre en scène des inspecteurs recherchant des indices, j’ai besoin d’être tout de suite dans l’action. On ne me verra pas non plus écrire des romans d’amour ou des poésies.
Bref, chacun son style, et tant mieux, c’est bien ainsi !

Un salon dans un château

C’est dans ce monument que se déroulait l’événement


Mon week-end de dédicaces s’est poursuivi, ce dimanche, avec une journée au château de Méry-sur-Oise (Val d’Oise), où se déroulait une nouvelle édition de la Fête du livre organisée par la mairie. Il y avait des écrivains, certes, mais aussi divers spectacles et animations comme le théâtre d’ombres, le théâtre de papier, des contes, du qi-gong et même des entraînements pour le jeu télévisé « Questions pour un champion » !
En ce qui me concerne, le score des ventes est très loin de celui d’hier. Il n’y avait pas foule et les visiteurs ne se sont pas précipités sur les stands… Cela reste quand même une belle journée, qui s’est déroulée dans un beau monument historique entouré d’un superbe parc, dont voici un aperçu. Romuald, encore merci pour ta présence 😉
A très vite !


Une première réussie à la Fnac !

J’ai rencontré Janelle lors de cette nouvelle journée de dédicaces


Ce samedi, j’étais sur mon petit nuage à la Fnac de Thillois ! Alors que je dédicaçais pour la première fois mes livres dans une Fnac, j’ai non seulement été formidablement bien reçu par le personnel, mais j’ai aussi très bien vendu avec un score qui s’élève à 13 livres dédicacés (9 Moogas, 4 Jaméliennes). Les ventes ont été régulières tout au long de l’après-midi. Parmi mes clients du jour, des retrouvailles avec des lecteurs rencontrés lors de salons du fantastique pour le premier tome. Ils sont revenus me voir pour se procurer la Jamélienne ! Je pense qu’ils ne seront pas déçus de leur nouvel achat ! Tout le monde a joué le jeu pour les photos: voici donc une nouvelle galerie d’images en guise de souvenir.


Quelle promotion à Sézanne !

Voilà une vitrine dont je me souviendrai !


Ce samedi 17 mars, j’étais à la librairie Majuscule de Sézanne pour présenter mes créations. J’ai été très bien accueilli par Rose-Marie, Francine et Gilles qui m’avaient assuré une superbe promotion ! J’ai ainsi eu droit à une toute une vitrine entièrement consacrée à ma présentation ! Avec de grandes affiches et même des flyers spécialement créés pour l’occasion.
Avec cinq ventes (quatre Moogas, une Jamélienne), les ventes n’ont malheureusement pas été aussi nombreuses qu’escompté, mais je garderai quand même un très bon souvenir de cette journée. J’aurai d’ailleurs droit à un nouvel article dans le journal L’union.
A la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !