Chronique cinéma: « Avatar, la voie de l’eau »

Bonjour à tous !
C’est l’heure de se retrouver pour une nouvelle chronique cinéma ! Et aujourd’hui on va parler d’un film que je suis allé voir dès sa sortie : Avatar, la voie de l’eau.
Comme vous le savez, il s’agit de la suite du film Avatar sorti en 2009, un long-métrage qui avait révolutionné les effets spéciaux au cinéma. Voici donc le deuxième opus 13 ans plus tard.
Alors de quoi ça parle ? Dans le premier épisode, on découvrait les Na’vis, cette espèce d’humanoïdes bleus de trois mètres, dans la jungle de la planète Pandora.  Cette fois, on découvre la vie de ce peuple dans l’eau, d’où le titre du long-métrage.
J’ai passé un bon moment devant ce film.
Le fait d’explorer la vie des Na’vis dans le milieu aquatique donne lieu à de nouvelles et très belles images. Les effets spéciaux sont toujours aussi réussis, peut-être même meilleurs. On a du mal à croire que ce sont de vrais acteurs derrière les personnages en images de synthèse. La cohabitation entre les images de Na’vis et les acteurs n’ayant pas été « transformés » passe très bien. Bref, c’est du grand spectacle et le film n’est pas signé James Cameron pour rien !
En revanche, j’ai trouvé le scénario très classique pour une suite : il s’agit, ici, d’une banale histoire de vengeance. Ce qui me fait dire qu’une suite n’était pas forcément utile.
Certains passages, notamment dans la dernière partie, ressemblent à des scènes d’action ordinaires, ce qui gâche un peu la magie du long-métrage qui et avant tout un film de fantastique.
Même si ce film est réussi -je le recommande pour toute la famille- je suis un peu inquiet face à l’annonce d’un Avatar 3, 4 et même 5. Je l’ai toujours dit : trop de suites ternissent l’œuvre originelle. Avec une aussi longue saga, il y a bien un risque d’usure, de perte de qualité des films, et donc de lassitude chez le spectateur.
Voilà pour cette chronique cinéma ! Je vous dis à très vite pour de nouvelles aventures fantastiques !

À la découverte du salon de La Chaussée-sur-Marne

Ce dimanche 11 décembre, j’étais au salon du livre de La Chaussée-sur-Marne, entre Châlons-en-Champagne et Vitry-le-François, dans la Marne. Ça fait plaisir de faire un salon qui n’est qu’à vingt minutes de chez soi !
Je n’ai pas fait énormément de ventes mais la journée était quand même agréable. Je salue mes clients du jour: d’abord Eric Vetu, le maire d’Omey, pour le Mooga et la Jamélienne. Puis Marine, Séverine et Eric pour les Dragons. J’ai aussi présenté mes livres au député Charles de Courson ! Comme toujours, je vends aussi d’autres livres de ma maison d’édition le Héron d’argent.
Le salon était enrichi d’une exposition et d’une conférence sur le peintre André des Gachons (1871-1951), qui a vécu à La Chaussée-sur-Marne. Une conférence sur la maladie de Cloves était également prodiguée.
Le parrain du salon était l’écrivain châlonnais Camille Brunel, dont j’ai déjà eu l’occasion de parler. J’ai aussi rencontré une autre écrivain que je connaissais déjà, à savoir Bénédicte Dartigalongue.
Pour sûr, je deviendrai un fidèle de ce salon: pas besoin de faire forcément des centaines de kilomètres pour faire de belles rencontres ! À très vite !

Week-end décevant à Somain

Ce week-end des 3 et 4 décembre, j’étais de retour au salon du livre fantastique de Somain, dans le Nord. J’avais participé à ce salon une fois, en 2017. Je voulais y retourner car il a pour thème le fantastique. Une cinquantaine d’auteurs étaient présents.
J’ai été très bien accueilli par l’équipe, qui m’avait même réservé l’hôtel ! C’est suffisamment rare pour être souligné…
Par contre, côté ventes et fréquentation du salon, le week-end fut malheureusement en deçà de mes attentes. Je salue toutefois Axel, nouvelle victime de la Malédiction du Mooga. Côté Dragons, Marie, Eric, Marix & Max, Catherine et Clément se sont lancés dans l’aventure, achetant dans certains cas le livre pour un proche.
Quant aux animations, plusieurs prix ont été décernés: le prix littéraire de la Ville, le prix littéraire jeunesse, le prix littéraire enfance, le coup de coeur fantastique… Un concours de nouvelles était également organisé. Les plus jeunes ont pu profiter d’escape games.
Je vous dimanche 11 décembre pour un prochain salon, auquel je n’ai encore pas participé: La Chaussée-sur-Marne, près de Châlons-en-Champagne !
Très belle semaine à tous !

Chronique sur les affiches promotionnelles !

Bonjour à tous, c’est l’heure de se retrouver pour la chronique de la semaine !
Et cette semaine on va parler… des affiches ! Des affiches promotionnelles pour mes séances de dédicaces.
Elles sont préparées par les librairies, maisons de la presse ou centres commerciaux dans lesquels je vais présenter mes livres. Mais je précise d’emblée une chose : je ne demande pas à ces commerces de me confectionner des affiches promotionnelles. C’est uniquement à leur bon vouloir, et je découvre le plus souvent leurs créations en arrivant sur place. Je peux cependant me douter que les commerçants ont l’intention d’en préparer lorsqu’ils me demandent en amont une photo de moi, et les illustrations de couverture de mes ouvrages.
Les affiches servent donc à attirer l’attention des clients. Elles sont de format variable : A4, A3 ou encore poster. Elles sont disposées sur la table où je signe mes livres, dans des vitrines, ou encore sur des présentoirs dans des halls ou devant le commerce qui m’accueille.
Que voit-on sur ces affiches ? Les commerçants procèdent comme bon leur semble, mais il s’agit de me présenter, de présenter mes ouvrages et d’indiquer la date et les horaires de dédicace. J’ai pu voir des choses très variées en termes de couleurs, de police, d’esthétique… J’ai eu de belles surprises avec des montages très travaillés. Le temps passé sur la préparation des affiches témoigne de l’intérêt accordé par les commerçants à l’auteur ! Voici quelques exemples : la librairie Majuscule de Sézanne le 19 novembre dernier, où on voit mon visage entouré de mes trois romans. C’est dynamique et ça donne envie de venir à la séance de dédicaces ! Le magasin Carrefour de Château-Thierry, pour la séance du 17 juin 2021, avait fait l’effort de rechercher une illustration des canaux de Venise, et avait aussi utilisé une illustration d’un de mes personnages, dessin qui se trouve à l’intérieur du livre. Enfin, l’affiche du Leclerc de Pierry, pour la rencontre du 13 octobre 2018, est ma préférée : le personnel avait imité le style de couverture de mes deux premiers livres, avec un fond noir et un titre en rouge. On y voit ma tête au milieu d’un cercle de feu, en fait, celui de la Jamélienne. Très réussi !
Les affiches sont installées avant mon arrivée et restent en place pendant toute la durée de la séance de dédicaces. J’ai pris l’habitude de repartir avec une fois la séance terminée : puisque les commerçants ne vont pas les réutiliser et les jeter, autant les garder, cela me fait des souvenirs. J’en fais ainsi collection depuis des années !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Est-ce que les affiches promotionnelles attirent votre attention ?
Bonne journée à tous !

Encore une sacrée promotion à la librairie Majuscule de Sézanne !

Quel accueil à la librairie Majuscule de Sézanne ce samedi 19 novembre ! Comme en 2018 lors de mon premier passage, la promotion n’a pas été faite à moitié.
Sandrine a a été ma première cliente de la matinée, elle est repartie avec un dragon qu’elle a acheté pour sa belle-mère Marinette ! Patricia s’est lancée dans ma saga fantastique, Cyrielle repart avec un Dragon pour Jérémy ! Je salue également Christiane et Oriane qui se sont procuré les Dragons.
Je remercie bien l’équipe de Majuscule pour son accueil, à savoir Francine, Sylvie et Rose-Marie. On a même parlé d’une troisième séance de dédicaces avec mon futur album sur la Révolution française !

« Vous en vivez ? »

Bonjour à tous ! C’est l’heure de se retrouver pour la chronique de la semaine !
Et aujourd’hui, je vais répondre à une question qu’on me pose régulièrement : « Est-ce que vous vivez de la vente de vos livres ? » La réponse est claire : non. Je vais ici expliquer pourquoi.
Premièrement, ce n’est pas un souhait de ma part. J’ai trouvé un parfait équilibre entre ma profession de journaliste et mon activité d’écrivain, qui reste elle un loisir.
Deuxièmement, vivre de sa vie d’écrivain est quelque chose de difficile. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. Gagner sa vie en tant qu’écrivain, ce n’est pas avoir un salaire sur le compte en banque tous les mois. L’argent qu’on gagne dépend des droits d’auteur, qui ne représentent qu’un petit pourcentage de ce que l’auteur va gagner par livre. Le reste va aux éditeurs, imprimeurs, diffuseurs, etc. De plus les droits d’auteur ne sont pas versés tous les mois mais une fois par an. Pour gagner sa vie en tant qu’écrivain, il faut donc vendre constamment et énormément de livres, par milliers ! Restons modestes… Bref, cela ne peut marcher que si on est un écrivain connu avec un bagage solide de publications derrière soi. Tout le monde ne s’appelle pas Marc Lévy ou Annie Hernaux…
Le mieux, pour espérer vivre de sa vie d’écrivain, est sans doute de se tourner exclusivement vers l’auto-édition : là, l’écrivain gère tout lui-même, donc l’argent gagné sur chaque livre vendu lui revient intégralement. Mais là encore, pour espérer avoir des revenus un minimum confortables, cela prend du temps.On se retrouve le week-end prochain, cette fois pour une séance de dédicaces ! Très belle semaine à tous !

« Ce sont des livres pour quel âge ? »

Bonjour à tous !
C’est l’heure de se retrouver pour la chronique de la semaine !
Et aujourd’hui, on va parler du public visé par mes livres. À quelle catégorie d’âge sont destinés mes ouvrages ?
Ce n’était pas une question que je me posais jusqu’à ce qu’on m’interroge ou qu’on me fasse des remarques sur le sujet.
Pour rappel, quand j’ai écrit La malédiction du Mooga et La Jamélienne, j’avais le même âge que mes personnages : 16-17 ans, j’étais donc adolescent comme eux. J’avais naturellement mis en scène des personnages dont je pouvais me sentir proche. Dans Les Dragons de Venise, écrit plus récemment, les personnages principaux sont aussi adolescents.
C’est généralement le même phénomène pour les lecteurs : le public visé par le livre se détermine en grande partie par les personnages mis en scène dans l’ouvrage. Les enfants sont attirés par les personnages enfants. Les adolescents par les personnages adolescents, les adultes par les personnages adultes.
J’aurais donc tendance à dire – et je ne l’ai découvert qu’après leur publication !- que mes romans sont destinés à un jeune public, plutôt adolescent.
Le sujet abordé par le livre compte aussi beaucoup pour déterminer le public visé. Chaque catégorie d’âge se verra attirée par un sujet dont elle se sent proche. Dans ma nouvelle Les douze travaux du bonheur, il est question de psychologie et de la philosophie de vie d’un trentenaire. Un sujet qui ne va pas vraiment intéresser le jeune public, mais qui parlera aux adultes. Quand on écrit pour un public jeune, on doit veiller à maintenir son attention et à ne pas le choquer. Alors que dans l’écriture pour adultes, on peut se permettre d’aborder librement toutes sortes de sujets.
Le style a aussi son importance. Une écriture simple, sans fioritures, va attirer le jeune public, alors que les adultes auront naturellement besoin de quelque chose de plus complexe.
Il vaut mieux, pour un écrivain, expliquer au public à quelle catégorie d’âge est destiné son livre, afin d’éviter des surprises chez les lecteurs !
Mais attention, la correspondance entre l’âge des personnages et celui des lecteurs n’est toutefois pas une règle absolue : ce n’est pas parce que des adolescents sont mis en scène que le livre est forcément pour adolescents. C’est la réflexion que je me suis faite dernièrement en lisant le livre de Thomas Tilliez, Lamia. Les protagonistes sont adolescents mais le livre a un côté très sombre avec des histoires de violence, de cadavres, de meurtres…
À la semaine prochaine pour une nouvelle chronique !

Ma deuxième chronique cinéma: « Black Adam »

Bonjour à tous !
C’est l’heure de se retrouver pour une nouvelle chronique cinéma ! Et aujourd’hui, je vais vous parler d’un film de fantastique bien sûr : Black Adam.
Alors que raconte ce film ? Black Adam, c’est l’histoire d’un héros de l’Antiquité, Teth Adam, qui vivait dans une cité appelée Kahndaq. À son époque, il avait combattu un roi tyrannique, qui voulait asseoir son pouvoir au moyen d’une couronne maléfique. Teth Adam se retrouve ressuscité à notre époque, alors que la couronne fait de nouveau l’objet de convoitises, cette fois de la part d’un gang malfaisant qui règne sur la cité.
J’ai bien aimé ce film. Ce que j’aime dans la filmographie de Dwayne Johnson, c’est qu’il alterne les films d’action avec les films d’action/fantastique. Il y avait déjà du fantastique dans Rampage, hors de contrôle, par exemple. C’était aussi le cas dans son tout premier film, Le retour de la momie. Je me souviens l’avoir découvert à l’époque, en 2001. Je pense que c’était le bon acteur pour ce rôle de superhéros dans Black Adam.
Mais j’ai trouvé que son personnage n’avait pas beaucoup de relief et n’était pas très drôle par rapport à d’autres qu’il a interprétés… C’est aussi sympa de revoir Pierce Brosnan : l’acteur des films d’action d’autrefois joue avec l’acteur des films d’action d’aujourd’hui. Une rencontre entre deux générations, en somme. Côté personnages, j’aurais aimé avoir plus d’explications sur la Justice society, et plus particulièrement sur son personnage féminin, Cyclone.
Le risque quand on mêle action et fantastique, c’est d’avoir des scènes d’action parfois un peu illisibles. C’est clairement le cas ici. À force d’avoir trop d’effets visuels, cela donne des scènes confuses et on ne comprend plus trop ce qui se passe.
Mais je recommande ce film, qui reste distrayant et répond à tous les codes du fantastique !
À très vite !

Un Valjoly’maginaire trop calme

Ce week-end des 22 et 23 octobre, j’étais à la 11e édition du Valjoly’maginaire. Le festival du fantastique avait pour thème, cette année, les super héros.
Malheureusement, ce fut une édition assez calme. Je n’étais pas le seul à remarquer que le public était bien moins présent que d’habitude. Même les exposants étaient moins nombreux dans les salles…
Les ventes n’ont donc pas été extraordinaires. Je vous présente toutefois Dorian, Lilou et Zoé, qui se sont lancés pour Les dragons de Venise, ainsi que Michèle, pour La malédiction du Mooga et les 12 à Noël.
J’ai aussi pu faire quelques belles rencontres parmi les exposants. Les salons sont toujours, pour moi, l’occasion d’élargir mon répertoire !
Parmi les animations, les enfants pouvaient profiter d’une chasse au trésor. Un concours de super-héros était organisé, tandis que Bavar a régalé le public de ses contes…
Malgré ce week-end assez décevant, je compte bien retourner au Valjoly’maginaire l’an prochain. Ce festival fait partie de mes incontournables !
A très vite !

Belle photo souvenir au collège Notre-Dame Perrier de Châlons !

La semaine spéciale Ela, au Collège Notre-Dame Perrier de Châlons-en-Champagne, s’est terminée avec la réunion de toutes les personnalités invitées. Je pose ici aux côtés de Solène Scholer, miss Champagne-Ardenne, de l’ancien champion du monde de boxe Affif Djelti, de l’animateur de télévision Alex Goude et du demi-finaliste de The voice kids, Nahel !
Encore bravo au collège pour ce bel engagement et toutes ces opérations pour Ela !