Le pouvoir de l’imagination

Bonjour à tous !
Avant toute chose, permettez-moi de vous souhaiter une très belle année 2023 ! Année qui sera marquée par la parution de mon prochain livre : La Révolution, splendeur, drames et libertés, dont j’aurai l’occasion de parler prochainement.
Mais pour l’heure, je vous propose de démarrer cette année avec la nouvelle chronique de la semaine !  
« Tu as beaucoup d’imagination », me disait-on quand j’étais petit. Et ce sera tout le sujet de la chronique d’aujourd’hui : l’imagination !
L’imagination a toujours été, pour moi, un moyen de créer mon propre monde dans lequel je me réfugiais. C’est un trait de caractère qui est apparu très tôt, quand j’ai commencé à écrire, à l’âge de 9 ans, en 1996. J’aimais cette idée qu’on pouvait repousser les limites du possible, et je concrétisais naturellement mon imagination par l’écrit. Mes premiers lecteurs étaient étonnés de voir tout ce qui se passait dans ma tête d’enfant ! J’avais un caractère très rêveur, parfois trop rêveur ! Un détail de la journée ou de mon environnement, une déformation de la réalité pouvaient me faire m’évader dans mes pensées et concevoir une nouvelle histoire.
J’aime dire que l’imagination est une forme d’intelligence. Non pas que je me considère comme un génie, loin de là. Mais l’imagination permet de se distinguer, de s’affirmer, et aussi de progresser : les progrès technologiques sont rendus possibles par l’imagination, qui rime avec créativité et invention. Avec elle, l’impossible peut devenir possible…
Elle se retrouve dans différents styles littéraires : le fantastique -mon domaine de prédilection-, la fantasy, la science-fiction ou encore l’anticipation. L’exploitation de l’imagination n’est pas la même selon les styles de récits. Les codes sont différents.
L’imagination est une qualité, certes. Mais elle ne doit pas être utilisée à tire-larigot. Elle doit rester accessible, compréhensible, ce qu’elle présente doit toujours avoir du sens pour être partagé. Même l’imagination doit être cadrée et trouver ses limites. Elle ne doit pas faire perdre complètement pied avec la réalité, dont, quelque part, elle découle ! Lorsqu’elle tourne à l‘absurde, elle ne peut que susciter le rejet chez le lecteur. Ce n’est pas parce que j’ai beaucoup d’imagination que j’aime pour autant tous les livres de fantastique que je lis…
Et vous, quelle est votre opinion sur le sujet ? Voyez-vous l’imagination comme une qualité ou bien comme un défaut ?
À très bientôt !

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