De l’importance de la police

Chronique de la semaine !
Aujourd’hui, on va parler de la police. Eh oui ! 
La police d’un texte bien sûr ! Parfois, quand des clients approchent de mon stand et commencent à feuilleter mes livres, ils s’exclament: « Ah ben ça va, c’est écrit gros ! » Voilà ce que m’inspire cette réflexion.
La police – j’entends taille et style des lettres – est la même pour mes deux livres, et elle a été imposée par mon ancienne maison d’édition, 7 Ecrit. J’ai conservé cette police lorsque j’ai republié mes romans en auto-édition.
Il est vrai que le choix de la police est déterminant quant à l’attrait du lecteur pour un ouvrage. Quand les intéressés constatent que la taille des lettres est plutôt grande, ils se disent inconsciemment que le livre est facile à lire. 
On admettra qu’un livre dont les lettres sont minuscules est généralement bien moins engageant… Personnellement, en dessous de 12, je trouve que cela commence à devenir vraiment petit. Je me dis que le livre est dense et que j’aurais un peu plus de mal à rentrer dedans. 
Entre Times, Helvetica, ou Garamond, le style des lettres est aussi important. C’est un message qu’on envoie au lecteur: l’enjeu, c’est son confort. La lecture doit lui être agréable.
Et vous, lecteurs, qu’en pensez-vous ? Faites-vous attention à la police d’un livre ? Confrères écrivains: comment choisissez-vous votre police ? A vos claviers !

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