Ma découverte de Venise

La magnifique place Saint-Marc !


[LES DRAGONS DE VENISE] Chronique de la semaine !
Aujourd’hui, je vais parler de ma découverte de Venise. Je dois bien l’avouer : avant d’écrire mon nouveau roman attendu pour la fin de l’année, je ne connaissais pas grand-chose sur cette cité italienne. Avant de commencer à rédiger quoi que ce soit, il m’était donc indispensable de me renseigner sur cette ville de légende !
Ma découverte de cette cité a donc commencé par de la documentation. Je me suis procuré le livre « La Venise des doges » d’Amable de Fournoux. Cette lecture m’a permis de familiariser avec l’histoire de la cité, plus particulièrement sur son histoire politique, le fonctionnement de ses institutions et de sa société, la mentalité des Vénitiens…
Je me suis également beaucoup documenté sur internet, en lisant et en imprimant quantité d’articles sur cette cité.
J’avais aussi enregistré un documentaire qui était passé sur France 5 : »La face cachée de Venise ».
Mais pour découvrir réellement une ville, il n’y a rien de mieux que d’aller sur place ! C’est donc en mai 2017 que je me suis rendu à Venise, alors que j’avais déjà commencé à écrire quelques chapitres de mon roman. Ce qui m’a frappé quand je suis arrivé sur place, c’est l’eau qui serpente partout dans la ville et ses nombreux ponts. Venise vit sur l’eau ! Les voitures sont peu nombreuses, car tout se fait en bateau ! Quand vous demandez un taxi, c’est un bateau qui arrive. On prend le bateau comme le bus. On circule également beaucoup à pied : il n’y pas de voiture dans le coeur de Venise. Les rues sont étroites et les maisons sont construites au bord des nombreux canaux, où voguent en permanence des barques.
Sur place, j’ai tenu à visiter les lieux emblématiques. Dès le premier jour, j’ai vu l’incontournable et légendaire place Saint-Marc ! C’est le centre de Venise, c’est une place gigantesque chargée d’histoire ! On y trouve les principaux monuments : le palais des doges, d’abord. C’est là que j’ai passé le plus de temps. J’y suis resté plusieurs heures, écoutant et en réécoutant les explications du guide audio, noircissant mon carnet de nombreuses notes. J’ai également vu les prisons situées dans le souterrain du palais. Le Campanile, ensuite : je suis monté au sommet de cette tour. Tout en haut, j’avais de très belles vues sur la cité des doges. Juste à côté, il y a aussi la basilique Saint-Marc ainsi que les Procuraties, lieux de travail des magistrats vénitiens. Ainsi, j’ai pu réellement visualiser les endroits où je vais emmener mes lecteurs dans mon prochain roman.
Venise vivant sur l’eau, j’ai également fait une visite -en bateau bien sûr !- du Grand canal. Je me suis rendu à l’arsenal, mais n’ai pas pu y rentrer puisqu’il est interdit au public. Par contre, j’ai pu profiter du musée de l’histoire navale, qui se situe à proximité.
J’ai perçu Venise comme une ville très vivante, très colorée, très touristique aussi. Sur place, je suis tombé à plusieurs reprises sur des Français.
Je suis reparti avec des centaines de photos. Mais bien sûr, je suis loin de tout savoir sur Venise. Aujourd’hui, je suis encore frustré : j’aurais aimé continuer à me documenter et à en apprendre sur la ville. Mais il fallait bien que je commence à écrire !
Et vous, vous avez déjà été à Venise ? N’hésitez pas à réagir en postant des commentaires ci-dessous ! A samedi prochain pour une nouvelle chronique !


La 100e était à Dormans !

Bienvenue dans mon monde !


Ce week-end des 21 et 22 juillet, je fêtais ma 100e séance de dédicaces en participant à la quatrième édition du Dormantastique ! Je suis maintenant un habitué de ce festival médiéval et fantastique qui se déroule dans le château de Dormans.
Comme vous pouvez le voir sur les clichés, j’ai décidé de jouer le jeu en me déguisant. Une réussite, puisqu’on m’a a plusieurs reprises appelé « Peter Pan », que des visiteurs m’ont pris en photo et que des enfants ont aussi voulu faire un cliché souvenir avec moi !
Le Dormantastique s’améliore d’année en année. Cette fois, les exposants étaient présents jusque devant le château. On comptait au total une cinquantaine auteurs et d’illustrateurs répartis au rez-de-chaussée et à l’étage. Les artisans n’étaient pas en reste puisqu’ils avaient une nouvelle fois envahi la cour et les abords du château. Là encore, on a eu droit à un spectacle d’escrime avec la compagnie Quinte Septime. Les conteurs Lundazepa et Pascal Boillet ont déclenché des éclats de rire, tandis que la voix poétique de la chanteuse elfique Douaimt a résonné sur le site. Les cracheurs de feu et les concerts ont fait monter la fièvre du samedi soir !
Bref, Virginie Goevelinger et la Guilde dormaniste des Carottes en Champagne ont une nouvelle fois assuré. Je leur tire mon chapeau (pointu).
En ce qui me concerne, j’ai pu faire de belles et nouvelles rencontres avec des écrivains qui m’ont appris de nouvelles choses sur le monde de l’édition. Côté ventes, je repars avec cinq livres vendus ( quatre Moogas, une Jamélienne). Pour la petite histoire, suite à l’annonce que j’ai publiée ici même, une lectrice a souhaité m’acheter « Les dragons de Venise » mais il faudra attendre encore quelques mois puisque le roman n’est pas encore paru ! Ce salon était d’ailleurs l’occasion de parler de mon prochain livre aux visiteurs que je connaissais déjà et que j’ai pu retrouver sur place.
Vive Dormans et vive le Dormantastique ! Place aux photos !


Ma découverte de la fantasy

Chronique de la semaine !
Aujourd’hui, je vais parler de ma découverte de la fantasy. Quand j’ai appris que je devais écrire un livre de fantasy, je me suis demandé comment j’allais faire puisque c’était un style que je ne connaissais pas ou peu. Finalement, l’expérience ne fut pas si difficile. Ce fut même un plaisir.
Ma première démarche a été de contacter des collègues écrivains ou illustrateurs qui ont l’habitude de travailler sur des oeuvres de fantasy. Ils m’ont aidé à comprendre ce style.
Je me suis ensuite renseigné sur internet, en lisant des documents qui définissaient la fantasy. J’ai aussi lu un livre universitaire d’Anne Besson sur le sujet. Mais le mieux était de lire ou de regarder des oeuvres typiques ! J’ai donc cherché des oeuvres de fantasy. Et c’est là que je me suis rendu que la fantasy était pour moi en fait quelque chose de familier. Je pense par exemple à Tolkien : j’avais vu les films réalisés autour du « Seigneur des anneaux ». J’ai lu « Bilbo le Hobbit » (oeuvre que je connaissais, sans l’avoir parcourue jusque-là), oeuvre majeure de la fantasy. Je pense aussi à une saga télévisée que je regardais pendant mon enfance: « La caverne de la rose d’or », de Lamberto Bava. Je connaissais également les oeuvres « Harry Potter »… Donc, la fantasy était en fait un style que je connaissais déjà… Sans le savoir !
Enfin, ma découverte de ce style a également consisté à suivre un mooc de fantasy pendant plusieurs semaines sur internet. Un mooc est un système de cours en ligne que les participants peuvent suivre à leur rythme pendant un temps donné. Celui dont j’ai profité était organisé par l’université d’Artois (Arras, Pas-de-Calais). J’ai notamment appris qu’il existait des sous-genres de fantasy: heroic fantasy, dark fantasy, fantasy urbaine…
Bien sûr, je ne sais pas tout sur la fantasy et j’aurais aimé continuer à me documenter. Mais une fois ces connaissances de base engrangées, l’écriture de mon nouveau roman a pu accélérer. Le but des « Dragons de Venise » est de faire rêver le lecteur en lui présentant un univers merveilleux. Dans quelques mois, vous me direz si le pari est réussi !
Je terminerai cette chronique en citant une phrase que j’ai lu sur la page Facebook Success motivation : « Ne refuse pas une opportunité par peur de ne pas savoir faire. Tu apprendras après. » Une phrase qui m’a boosté !
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Fantastique ? Fantasy ? Science-fiction ?

Chronique de la semaine !
Comme je l’ai annoncé, mon prochain ouvrage, « Les dragons de Venise », sera un livre de fantasy, et non de fantastique. Mes deux premiers livres sont, eux, bien des récits de fantastique. Ils sont parfois présentés, à tort, comme des livres de science-fiction. Je vais ici redéfinir ces trois styles littéraires pour éviter les confusions.
Le récit de fantastique met en scène le monde réel. Des phénomènes paranormaux (monstres, malédictions…) surgissent dans le monde tel que vous et moi le connaissons, provoquant chez les personnages des réactions de surprise, de peur… Ils voient leur vie bouleversée par l’émergence du surnaturel. C’est ce que je mets en scène dans « La malédiction du Mooga » et « La Jamélienne ».
Le récit de fantasy met en scène un univers créé de toutes pièces par l’auteur. Les phénomènes surnaturels font partie de la vie des personnages. Ils ne sont pas surpris de côtoyer des dragons, des gnomes, des nains, des elfes… Les animaux parlent et c’est normal, il n’y a pas d’explication rationnelle à chercher. La fantasy met souvent en scène de la magie et des créatures fabuleuses. bref, tous ces éléments font partie du quotidien des personnages. La référence en matière de fantasy est Tolkien, avec « Bilbo le Hobbit », « Le seigneur des anneaux »… On peut aussi citer la saga « Harry Potter ».
Enfin, la science-fiction met souvent en scène un monde futuriste, dans lequel l’auteur imagine la façon dont la science, la technique et leurs découvertes peuvent évoluer. On y voit donc souvent des vaisseaux, des robots, des machines douées d’intelligence… De bons exemple de science-fiction: « Star wars » ou « Terminator ».
Mon prochain roman m’a poussé à m’intéresser à un style que je connaissais peu. Je reviendrai prochainement sur ma découverte de la fantasy. N’hésitez pas à réagir en postant des commentaires ci-dessous !

Mon troisième livre sortira à la fin de l’année !

⚠️FLASH D’INFORMATION SPÉCIAL⚠️
Chers abonnés, il est temps pour moi de vous l’annoncer ! Je suis heureux de vous parler de la parution prochaine de mon TROISIÈME LIVRE !!! 😀 😀 😀
Il s’appellera « LES DRAGONS DE VENISE », et sa sortie est prévue pour la fin de l’année aux éditions le Héron d’argent.
Ce nouveau roman, un livre de fantasy historique, mettra en scène de nouveaux personnages vivant à Venise à l’époque médiévale. Comme le titre l’indique, ils seront confrontés à des dragons ! C’est une nouvelle et grande aventure commence ! Je vous en dirai plus sur l’intrigue très bientôt…

Deuxième passage à Vitry-le-François

Louisa s’est ouverte à mon univers fantastique


Ce samedi, j’étais de retour à Vitry-le-François pour cette fois sévir dans le Leclerc de la cité rose de la Marne.
Je m’en sors bien puisque j’ai vendu 8 livres (six Moogas et deux Jaméliennes). Comme souvent, les nouveaux clients étaient des personnes qui venaient me voir d’elles-mêmes, plutôt que des passants qui répondaient à mes sollicitations. Voici les photos de mes nouvelles rencontres !


Comment maîtriser sa réputation sur le web ?

Chronique de la semaine !
Depuis que je publie des livres, je suis abondamment référencé sur internet, qu’il s’agisse de mon propre site, de photos publiées par ma maison d’édition, d’articles de presse… Il y a encore trois ans, on ne trouvait pas grand-chose sur la toile me concernant, moi qui, de nature réservée, aurais tendance à approuver volontiers le dicton « Pour vivre heureux vivons cachés ».
Or les vannes sont ouvertes : on peut facilement trouver, en quelques clics et en quelques secondes, des informations à mon propos sur le net, alors que j’étais d’abord réticent et même impressionné à cette idée.
La question que je voudrais soulever aujourd’hui est : comment maîtriser sa réputation sur le web ?
Je l’avoue : je « m’auto googlise » souvent, pour voir si quelque chose de nouveau se dit sur moi à mon insu. Mais la démarche est assez stérile, car on ne peut pas maîtriser son e-reputation, tout comme on ne peut pas maîtriser sa réputation dans la vraie vie !
Je n’ai jusqu’à présent jamais rien lu de dérangeant à mon propos sur le net. Il est rare que ce que je lis de moi sur le web émane d’une personne que je n’ai pas réussi à identifier. Et même si je devais lire quelque chose de négatif à mon sujet, par une personne que je ne connais pas, je crois qu’il faut tout simplement passer au-dessus. Et dans le pire des cas, nous sommes dans un état de droit et j’ai toujours la loi pour me protéger !
On ne peut pas tout contrôler ! Je citerais pour étayer ce propos une phrase, que j’ai lu sur la page Facebook « Success motivation » et que j’aime beaucoup: « Ce que les autres pensent de toi ne te regarde pas ». En appliquant ce principe, on voit la vie autrement et tout devient beaucoup plus simple !
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Maigre bilan à Ancy-Le-Franc

Alicia est repartie avec un Mooga


Ma tournée de dédicaces s’est poursuivie ce dimanche avec ma participation au salon du livre d’Ancy-le-franc (Yonne). Il était organisé par le Lions club et avait lieu dans le château de la commune. Mais à part un pic de fréquentation vers 16 heures, il n’y avait pas foule, et de ce fait, je n’ai pas vendu grand-chose. Bonne surprise cependant : bien qu’il s’agisse d’un salon « classique », certains exposants avaient décidé de faire dans l’originalité en se costumant ! Voici la visite guidée illustrée.


J’ai vendu un Mooga au maire de Vitry-le-François

Le maire Jean-Pierre Bouquet, qui me connaît en tant que journaliste, va découvrir que j’ai beaucoup d’imagination !


Ce samedi 16 juin, je présentais mes livres à la librairie La Cédille de Vitry-le-François ! Une séance qui s’est très bien déroulée puisque je suis parvenu à vendre sept livres, que des Moogas. L’un de mes clients était le maire de Vitry, Jean-Pierre Bouquet ! Merci à David Vergnault pour son accueil ! Bref, tout va bien dans mon aventure littéraire !
Je serai de retour à Vitry-le-François dans deux semaines, cette fois pour dédicacer mes livres au Leclerc. En attendant, voici les photos du jour !